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lexique-pnl-lettre-nLexique PNL - Lettre "n"

Niveaux logiques

Le terme « niveaux logiques », tel qu’il est utilisé en PNL par Robert Dilts, se réfère à une hiérarchie de niveaux de processus au sein d’un individu ou un système. Le concept initial de niveau logique d’apprentissage et de changement appartient à Gregory Bateson, à partir du travail du mathématicien Bertrand Russell. Robert Dilts a identifié six niveaux logiques de l’expérience humaine : l’environnent (le ou et quand) les comportements (le quoi), les capacités (le comment), les croyances et valeurs (le pourquoi), l’identité (le qui) et la spiritualité (avec qui d’autre). La fonction de chaque niveau est de synthétiser, organiser et diriger les interactions du niveau du dessous. Changer un élément à un niveau affecte les niveaux du dessous. L’inverse n’est pas forcément vrai.

Nominalisation

Distinction du Métamodèle dans la catégorie des généralisations. Un verbe est transformé en nom ; Un processus d’action est transformé en une entité statique, en une abstraction figée à vocation d’éternité. Le verbe est transformé en substantif.  Exemples : le changement, la communication, un problème, un échec, la direction, la vérité

Nouveau Code

Le « New Code » de J. Grinder et J. DeLozier a pris forme à partir du travail de Grégory  Bateson sur la théorie de l'information et la biologie, les recherches de Carlos Castaneda sur la Voie Yacqui et leurs expériences africaines du tambour, de la danse, du chant et du récit au Congo. Le New Code décrit les schémas du « génie personnel ». Ces schémas sont associés à la capacité à générer des états internes qui facilitent la modélisation de l’excellence et l’apprentissage. Le New Code propose d’aider le praticien PNL a être plus congruent dans l’utilisation des outils et méthodes de la PNL. Les exercices du New Code utilisent les triples descriptions (positions de perception) et le « Personal Editing Format » dans lequel le corps-esprit est engagé dans des activités qui vont servir de référence en matière de maintien de la congruence. Cet état de congruence, riche d’un potentiel de solution, est ensuite amené dans l’espace problème du sujet.